L’adoption

Lorsqu’on fait entrer dans nos vies un être aux prémices de son évolution (psychique et/ou physique), il faut s’armer de patience, de douceur et de bienveillance. Et ce malgré le manque de sommeil, le stress et le doute.

Un chiot n’est pas un enfant humain. Il a des besoins spécifiques à son espèce, un langage spécifique à son espèce !

Partez du principe qu’il a une bonne raison de faire ce qu’il fait. À vous de lui proposer des alternatives appropriées lorsqu’il le demande, car effectivement, il le demande.

Mettez-vous à sa place, et non à ce que vous pensez être sa place. Imaginez vous un monde où vos yeux ne seraient qu’un plus et où votre odorat deviendrait votre sens principal. Votre ouïe aussi.

Vous n’êtes pas son parent et il n’est pas votre bébé. Imaginez vous d’avantage comme un maître Ninja. Montrez lui, apprenez lui car rien de ce qui régit le monde des humains n’est inné pour votre chien, tout est à acquérir.

Cet apprentissage passe essentiellement par le jeu, les récompenses, la tendresse et le rire.

Alors, « be water my friend ».

PS: À lire absolument « Dans la peau d’un chien » d’Alexandra Horowitz.

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Bivouaquer avec son chien